Interview du Junior Business Developer
Lenny VIANET
Quel est ton cursus avant d’être arrivée chez eveho ?
Je suis titulaire d’un bachelor « Métier du sport » à l’école de commerce Amos Sport Business School, cette année je continue mon cursus en alternance à l’Inseec pendant deux ans.
Comment penses-tu pouvoir changer le monde de l’automobile avec eveho ?
Ce n’est plus un secret, le futur de l’automobile se trouve dans la digitalisation des processus de ventes, c’est un passage quasi obligatoire pour la profession. On est là pour aider les concessionnaires à saisir les opportunités qu’offre le digital et apporter notre vision en tant qu’acteur du e-commerce automobile.
Quel est ton objet fétiche pour travailler et pourquoi ?
Mes lunettes, sinon je double mon temps de travail…
Qu’est-ce qui te passionne le plus dans ton métier ?
eveho apporte une solution nouvelle aux problématiques du commerce automobile. On a une solution concrète répondant aux nouveaux enjeux du marché, et ce, pour TOUS les concessionnaires et professionnels de l’automobile.
Qu’est-ce qui t’a donné envie de travailler dans ce domaine ?
Le fait qu’un domaine qui existe depuis tant d’années ait la possibilité d’être lui aussi complètement repensé à l’aide du digital.
Quelle est la personnalité publique ou privée qui t’inspire le plus ?
Le sportif français de MMA Ciryl Gane. Il m’inspire car il ne vient pas du sport de combat, il a commencé il y seulement 4 ans, et fait déjà partie des 3 meilleurs de l’UFC. Son parcours nous montre qu’il n’est jamais trop tard pour se lancer et réussir dans un domaine.
Quel projet t’a le plus emballé chez eveho jusqu’à présent ?
La solution eveho 360, qui permet à tous les acteurs du secteur d’offrir une inspection facilitée des véhicules à leurs clients, et de faciliter la gestion des flux de véhicules sur le parc.
Quel est ton rapport avec l’automobile ?
C’est une passion qui m’anime tous les jours depuis petit.
Comment vois-tu l’achat de voitures dans les prochaines années ?
Pour moi, l’achat de voiture ne sera pas à 100% digital, mais pas sans le digital. Un équilibre qui mettra toujours le lien humain au cœur de l’activité mais utilisera nécessairement les outils digitaux pour répondre aux changements du marché.